Arthur D. Little vs. le Fisc : 0-1

Le tribunal administratif de Paris n’a pas fait droit à la demande du cabinet de conseil qui demandait à ce que lui soit restitué 1,8 million d’euros de redressement d’impôts. En cause des provisions pour dépréciation des prêts octroyés à ses filiales coréenne et chinoise que le cabinet avait déduites de ses résultats.


Six ans après que son redressement lui avait été notifié par direction spécialisée de contrôle fiscal d’Ile-de-France, les poursuites engagées par le cabinet Arthur D.

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