Ce qu’en disent les rapporteurs
“Je retiens que nous avons mis les pendules à l’heure pour que ce texte ne devienne pas inextricable pour la Haute autorité à la transparence de la vie publique (HATVP) ou la Commission nationale de l’informatique et des libertés” : telle est la réaction communiquée à laLettre du conseil, par Bruno Millienne, le député Modem des Yvelines et l’un des deux co-rapporteurs de la proposition de loi censée encadrer le recours aux cabinets de conseil dans le secteur public.